Le supraréalisme et ses admirateurs

Le supraréalisme et ses admirateurs

Voici un article de Patricia Jacquet du Ministère de la culture


« On dit que l’on utilise maximum dix pour cent de nos facultés intellectuelles. Force est de constater que par son intelligence 

et son art Mad-Jarova dépasse largement ce pourcentage. La technique qu’elle a acquise derrière

le rideau de fer est d’une exigence extrême mais son expression est libre. 

De plus, elle perçoit de façon aiguë comme dans son tableau « Le Cri » que la terre est menacée de nivellement par le bas, 

de médiocrité, de matérialisme industriel, d’égoïsme, de conflits, de sexualité sans Amour, de pensées négatives et destructrices,

de haine, de violence, de destruction et de décadence. 

 Sa peinture transmet donc une force qui exhorte à l’émerveillement, à la beauté, à l’Amour et à avoir un idéal. 

Ce que l’on rêve très fort arrive dit-on et Mad-Jarova a un puissant rêve éveillé qui mène loin et haut. 

Pour elle le bonheur passe par la découverte de notre âme en voyage permanent dans notre espace intérieur. 

 Avec une technique de grand maître, les fonds des tableaux de Mad-Jarova, 

très riches et très personnels sont inimitables ce qui est le signe de grands artistes. 

L’invisible apparaît dans l’incorporation de visages humains et d’animaux qui accompagnent la représentation réelle. 

L’invisible devient la résonance personnifiée de nos états d’âme. 

 Entre camaïeu de pastel ou de feu apparaissent quelques bulles appelés « orbs » récemment détectées sur les photos numériques. 

Les visages et les silhouettes dans ses fonds témoignent de son riche monde intérieur en rapport avec les humains dans une communion

d’Energies et son art de la lumière est intense. 

 Mad-Jarova peint des couples d’une infinie tendresse comme « Appassionata », des duos humains – animaux où ces derniers ont beaucoup de choses

à nous apprendre sur l’affectivité. 

Ses peintures d’enfant, d’une grande douceur, ne sont pas naïves. Mad-Jarova nous pousse à voler plus haut comme les oiseaux de ses toiles, 

à galoper toujours plus loin comme son magnifique cheval Phoenix, 

par-delà les toiles d’araignées de l’existence, par-delà l’angoisse qui se lit dans le regard d’une femme blessée, « La Proie », par-delà le mal que symbolise la laideur de certaines de ses créatures fantastiques. 

Sa peinture est riche de symboles forts jusque dans les couleurs. 

 Le supraréalisme scientifique de Mad-Jarova va au-delà du visible. La peinture de Mad-Jarova a la même démarche définie dans son Manifeste du supraréalisme artistique, scientifique et philosophique, où notre psychisme est la base de tout et l’on pense tous quantique. 

La science parle de matières et d’énergies noires, car invisibles et jamais observées. Depuis plus de 35 ans, Mad-Jarova travaille sur un nouveau modèle scientifique basé sur les résultats des observations. 

Elle a créé une théorie de la conscience en lien intime avec la réalité de la matière visible. Les scientifiques actuels sont confrontés à l’invisible. Par conséquent, l’expression artistique de l’invisible trouve naturellement sa place dans la culture de notre époque. 

Pour Mad-Jarova, visible (réalité) et invisible (conscience) sont une dualité complémentaire.. La peinture de Mad-Jarova a une force qui nous incite à retrouver notre âme et l’énergie qu’il y a en chacun de nous. Ainsi, le supraréalisme deviendra un nouveau courant de pensée, inévitable. Mad-Jarova perçoit les failles de notre société, mais sa vision de l’avenir reste optimiste, si pense-t-elle dans son superbe livre 

« Face à l’éternité », le libre arbitre tend dans le bon sens. 

Si la prise de conscience des dangers est forte, la richesse émotionnelle est préservée, et l’on recherche le cristal, symbole de vérité et de sagesse, les idées seront unies dans une spiritualité riche. Mad-Jarova veut croire que l’amour fera reculer l’Apocalypse et que l’Homme est destiné à évoluer. Elle aime les humains et les trouve beaux quand ils existent pleinement. 

Mais Mad-Jarova se fait l’écho du cri de souffrance de notre époque qui s’éloigne de la nature. L’art officiel semble dans une impasse 

rase – motte, quand il expose par exemple une bouteille de gaz, repeinte en rouge ! 

L’art officiel n’a que rarement survécu. Que va-t-il se passer après ? C’est à vous de nous le dire, c’est à vous de le décider. À vous tous… À notre époque de démocratie, le public a son mot à dire. Qu’en pensez-vous ? Etes-vous prêts toujours à vous aligner à la pensée imposée, à la pensée unique ? 

Cet « art » n’est pas inspiré par l’invisible c’est-à-dire par nos pensées profondes, nos sentiments, nos émotions invisibles, mais essentiels. Dans le passé, c’est l’Amour qui a inspiré les chefs-d’oeuvre. Et Mad-Jarova exhorte à l’Amour et à la beauté présente en chacun de nous. La plastique dans ses tableaux est quelquefois chorégraphique comme dans « Valse » ou « Arabesque » et musicale comme dans « Mazurka ». 

Elle est nourrie d’une sève et d’une chaleur qui rappellent le « Sacre du Printemps » et « L’Oiseau de feu » oeuvres issues d’un rare moment, où la création était un art total : théâtre, musique, peinture et danse. 

le temps, telle une pièce musicale qui se déploie progressivement, ce qui dans cet art est un exploit très stimulant. 

 Cela dépasse tout ce que l’on peut imaginer, parce que l’essentiel est invisible avec les yeux et l’on ne voit bien qu’avec le cœur, et là 

Mad-Jarova voit très loin en visionnaire. La peinture de Mad-Jarova prend sa source dans la richesse profonde de son univers et dans tous les éléments vivifiants de la nature: eau qui est la vie, terre qui porte, air qui est envol, feu qui est passion. 

Mad-Jarova a le génie du « non – limit » qui anime l’Art slave ». 

Patricia Jacquet Ministère de la Culture

J’ai lu ton livre avec ferveur et passion. Quel travail considérable tu t’es infligé pour tenir à bien ta mission de communiquer et transmettre ce qui nous dépasse ! Ton dévouement entier à la créativité artistique mérite autant le respect que l’admiration. Que la force de ta volonté et de ta résilience te portent encore longtemps sur les sentiers de la beauté et de l’émotion que ton œuvre a su porter au paroxysme de son expressivité.

Je t’embrasse, tu me manque.

Louis Huard (Psychiatre)

Après l’avoir lu, je mesure le courage et l’amour sacrificiels inouïs qu’il t’a fallu trouver dans les profondeurs de ton âme, pour pouvoir su trouver et poser les mots sur les plaies ouvertes de notre humanité errante et chaotique.

Merci de nous avoir éclairés dans l’épaisseur asphyxié de telles ténèbres…

Fidèlement. Louis Huard (Psychiatre)

Nous avons beaucoup apprécié cette vidéo qui nous montre bien ce que vous avez acquis scientifiquement et qui se retrouve dans le travail filmique sur vos peintures, les multiunivers, l’ensemble de ces univers parallèles né d’une interprétation très étrange de la mécanique quantique.

A cela s’ajoute cette volonté que vous avez d’unifier la matière et la lumière.

Franchir ce mur de la lumière, tout cela se trouve dans cette volonté de certaines toiles. Les personnages se transforment dans la matière pour nous emmener vers une vie parallèle à la notre.

Les regards des femmes des hommes des enfants et des animaux semblent habités par une autre lumière dans les yeux.

Je ne sais pas comment dire cela, ils sont bien de notre monde mais comme dupliqués. C’est vraiment un travail remarquable.

Loinel Tardif

Je suis totalement d’accord avec vous en ce qui concerne l’art contemporain,

il s’agit vraiment de prendre les gens pour des imbéciles.

Ce qui n’est pas une blague en revanche, ce sont les sommes colossales que cette « farce » brasse !

(En voyage à New York il y a peu) je suis passé au Guggenheim et franchement, la majorité des « œuvres » ne méritent pas le nom d’art

(pour moi en tout cas.) Et je suis tout à fait d’accord également sur le fait que la réussite n’est pas obligatoirement matérielle,

même s’il faut bien avouer que ça aide. La poursuite d’un idéal est un bel objectif, jamais totalement terminé.

Amitiés,

Sébastien Cerise

Je suis convaincue que seule la beauté est à même de relever le monde de la laideur morale dans laquelle il est tombé, ça vaut mieux que tous les discours, manifs ou slogans… Merci pour ta contribution Mad (ne manque que l’hymne à l’amour entre un homme et une femme,

en passe d’être ringardisé bientôt…).

Sabine Leblanc

Bonjour Mad-Jarova, merci pour vos écrits je les ai lus avec une grande attention et, je dois vous dire que je suis totalement dans cette voix de la supraréalité et de l’écoute de l’univers. Je ne pense pas que ce soit nouveau ,

l’explication et le manifeste sont nouveaux, mais ils ne peuvent pas être ressentis sans avoir eu des expériences dites suprasensorielles ou supraémotionnelles qui permettent d’avoir ces contacts avec les messagers de l’univers.

Sylvia Simoncelli

J’ai lu et relu et relu votre texte pour essayer de comprendre 

« TOUT » !! Comme ce sont dès vérités qui sont finalement nouvelles pour moi, pas vraiment, mais disons peut-être inconscientes. Le Vide qui n’est pas vide c’est ça qui m’a bouleversée parce que c’est si fort ! Ce « vide » qui nous entoure est probablement le moteur de notre vie et existence : l’invisible, inaudible…. l’inobservable……

Susanne Rossini

« Les Trois Parques ». Quelle oeuvre fascinante ! 

C’est avec beaucoup d’attention que j’ai voulu voir et revoir cette oeuvre…

Elle tranche, elle dit que la signature divine ne s’arrête pas ici, ni dans le monde éternel, c’est ce que je vois pour l’instant.

Le monde invisible est dense, plus dense que ce monde observable. Seuls les yeux éclaires peuvent voir des manifestations de l’au-delà…

Le monde invisible est l’intérêt vital que toutes sciences devraient approcher pour l’harmonie totale…

Aujourd’hui, c’est comme si le monde avait peur du Bonheur réel, alors que les armes mortelles n’ont peur de rien…

Quand je t’ai rencontrée pour la première fois à cette galerie à Paris, mon coeur a souri, car il a capté cette belle énergie qui connaît ces espaces intérieurs communiquant avec tous.

Une oeuvre qui dégage une décision pleine d’intelligence…

je n’ai pas encore fini de voir et continue à me délecter et savourer les mystères de cette invisible Réalité.

J’avais ton livre près de moi et me suis endormie avec des larmes…

j’ai réentendu ta voix, celle d’un ange certes, un cadeau de Noël inégalable…merci xxx

Michèle Noble

Ta maison est une vraie merveille, tout à fait à ton image.

J’ai passé une excellente soirée, comme dans un rêve. Une soirée qui restera certainement gravée longtemps dans ma mémoire.

Merci aussi pour ton livre « Face à l’éternité », que tu m’as offert et dédicacé avec beaucoup d’attention.

Mon intuition m’a guidée vers lui, et ma raison m’a soutenue pour l’obtenir.

J’ai commencé à le lire, et je dois dire qu’il correspond tout à fait à mes recherches

d’unité entre l’Art, les Sciences, la Spiritualité, la Psyché, la Poésie, la Philosophie, l’Intuition, la Raison,

le Rêve, l’Amour …. La Vie, et bien plus … 

Tu partages tout cela avec beaucoup d’élégance et de générosité.

Cela me ferait grand plaisir d’échanger avec toi (modestement, en ce qui me concerne) sur ces sujets.

Quelques mots sur moi :

Dans ma vie professionnelle j’ai navigué entre la conduite de projets informatiques de toutes sortes, la recherche, la formation…

Puis le coaching de dirigeants, managers et chefs de projets.

Et enfin la psychothérapie et l’hypnose ericksonienne, que j’explore et approfondis encore.

Chère Mad, c’est pour moi un immense honneur et une grande joie d’avoir croisé ta route. Et j’espère avoir l’occasion de te revoir, ici ou là.

Naget Copelo

Permettez-moi de vous dire que je reste interdite devant tant de beauté, de précision, de travail.

Pour m’essayer à la peinture depuis quelques toutes petites années (sans songer un seul instant à la moindre comparaison, bien sûr),

j’admire votre immense maîtrise et mesure le temps et le travail que cela nécessite comme tout art pratiqué à un haut niveau.

Je suis impatiente de pouvoir admirer vos œuvres réellement prochainement et vous écouter en parler.

Bien à vous.

Michèle Martin- Lamarche




Savez-vous que le savoir-faire dans l'art n'a rien à voir avec l'artisanat ? L'œuvre est créée au plus profond de l'âme de l'artiste,

mais le savoir-faire est la base de toute l'œuvre authentique.

C'est un repère sur lequel se fonde la création d'une époque. Sans lui, tout pourrait être considéré comme de l'art.

Sans lui, les valeurs restent subjectives, mais surtout spéculatives.


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